Maître Saïd Larifou vole au secours des victimes de l’esclavagisme en Mauritanie.

jeu, 07/11/2024 - 11:05

 Monsieur Diko Hanoune , connu et reconnu pour son engagement contre l’esclavage et victime des persécutions judiciaires de la part des esclavagistes, a gagné une précieuse victoire judiciaire au tribunal correctionnel de Paris dans le procès en diffamation engagé contre lui .

 

Cette décision de relaxe, prononcée par le tribunal correctionnel de Paris, est une victoire précieuse pour les hommes et les femmes engagés dans la lutte contre l’esclavage en Mauritanie. Il convient de souligner le puissant et flamboyant plaidoyer de Me Saïd Larifou , avocat de Monsieur Diko Hanoune , devant le Tribunal correctionnel de Paris à son audience du 17 septembre 2024 qui a sans doute pesé et influé sur le verdict de non-lieu rendu le 27 octobre 2024

 

 Me Saïd LARIFOU, ‘avocat international, inscrit au Barreau de Moroni (Comores) connu pour son engagement pour les droits humains, contre les injustices partout dans le monde et l’esclavage, promet de tout mettre en œuvre pour ouvrir des procédures de dénonciation calomnieuse contre ceux qui harcèlent injustement et de façon abusive son client afin d’obtenir son silence dans le combat contre l’esclavage qu’il mène depuis des décennies.  La place de Diko Hanoune n’est pas d’être traîné devant les tribunaux à la place des esclavagistes criminels.

 

Le tribunal correctionnel de Paris a donné raison à   Me Saïd Larifou en relaxant son client Diko Hanoune. La partie civile Yacouba Diakhité kaba est condamné à payer les frais de la procédure.

 

 Pour la suite de son combat contre l’esclavage, Monsieur DIKO HANOUNE peut compter sur la précieuse   et efficace mobilisation de la communauté Tallaye de Mpaly Kaba en Mauritanie, France, Bruxelles, USA et d’autres coins du monde entier qui étaient venus massivement assister au procès à Paris, ce qui est à saluer. La grande famille des abolitionnistes s’est distinguée partout dans le monde pour manifester leur solidarité avec Diko Hanoune. Quand des soi-disant guides spirituels féodaux esclavagistes veulent se faire passer comme des abolitionnistes, voire même victimes du phénomène non le contraire, le tribunal correctionnel de Paris a bien compris que la justice française n’entends pas se faire manipuler et instrumentaliser par des esclavagistes.