Les observateurs pensent que suite aux menaces du premier ministre monsieur Bilal , relayés par Le porte parole du gouvernement monsieur Nanni Ould Chrougha , qui a mis en garde contre toutes les candidatures contre El Insaf , le parti au pouvoir est désormais devant deux choix : - faire un coup d’ Etat électoral au cas où il s’ avère que le scrutin n’ est pas en sa faveur , ce qui conduira à une fraude massive dont les conséquences seront incontrôlables ! Le deuxième choix consiste à l’acceptation du verdict des urnes avec la possibilité d’un tremblement de terre politique sans précédant, le premier du genre dans la sous-région !
Dans ce dernier cas, nous aurons donc un parlement d’opposition made in Ould Bilal et Ould Chrougha , le pharaon yéménite porte parole imprudent !
Les menaces du gouvernement ne conduiront que vers la déroute de El Insaf parce que les mauritaniens n’aiment pas les menaces et ils iront jusqu’ aux bouts de leurs candidatures déjà annoncées !
La Mauritanie aura donc les élections les plus passionnantes dans l’histoire du pays avec une nouvelle opposition parlementaire majoritaire au cœur du jeu démocratique … Et il n’est pas exclu que le président Ghazouani qui prône une Mauritanie plus démocratique encouragera une cohabitation entre le pouvoir et l’opposition pour finir en beauté son premier mandat dans un équilibre des pouvoirs ! C’est lui qui en sortira grandi avec un nouveau parlement concurrentiel certes, mais partisan ! Wait and see