Si la dérive et les abus peuvent être tolérables dans les domaines politiques, ils ne le sont aucunement quand il s’agit de la profession des intellectuels authentiques qu’est le 4e pouvoir.
En effet, le premier capital de la liberté de presse est de se hisser aux querelles intestines et aux invectives qui constituent en fait l’exception qui confirme ses valeurs d’éthique et de déontologie, sans lesquelles elle perd son identité.